Né en 1979 à Poitiers, grandit à Thouars dans les Deux Sèvres à partir de l'âge de 6 ans.

Les premiers contacts avec la musique se font dans la discothèque paternelle, regorgeant de vinyles aux pochettes colorées et mystérieuses, dont les Rolling Stones, Gérard Manset, Uriah Heep, Magma, Black Sabbath...

Premier électro choc lors de la rencontre avec Iron Maiden et l'album Piece of Mind à l'âge de 8 ans, commence la guitare classique à l'âge de 10 ans et abandonne vers l'âge de 12 ans au profit du sport, mais aussi des filles et du rock.

Après un passage Hip Hop avec NTM, Public Enemy, Assassin, découvre et creuse dans l'univers du metal (Iron Maiden, White Zombie, Pantera, Cannibal Corpse, Loudblast, Mass Hysteria...).

Se rend finalement compte en écoutant Steve Harris dans les albums d'Iron Maiden que la basse, c'est la vie, tanne ses parents, finit par obtenir un deal plutôt pas mal avec le Père Noël, mais devra quand même ranger sa chambre pour avoir une chance d'y poser le bel ampli qu'il a négocié.

Rentre au lycée en seconde, et devient vite un assidu de la salle de musique du foyer, rencontrant d'autres musiciens en herbe, et monte ses premiers groupes, dont Cerber, avec qui il enregistre deux démos en cassette (!) et donne de nombreux concerts dans la région. Intègre par la suite le groupe Bloodychrist avec qui il enregistre deux albums et tourne en national.

Pas franchement un fana des études, il obtient son bac tant bien que mal, et part suivre un BTS en Communication d'Entreprises en 1998.

Se rend compte que ça prend beaucoup de temps, que ce n'est pas drôle, et que ça empêche de faire correctement de la musique, s'inscrit donc en Faculté de Musicologie à Tours en 2000 d'où il sort licencié quatre ans plus tard.

S'inscrit parallèlement au Conservatoire de Tours histoire de pallier au manque théorique dû à son parcours d'autodidacte, prend également des cours de basse avec Olivier Carole (Ben l'oncle Soul, Taÿfa), Olivier Battle et se familiarise avec le jazz.

Sort du Conservatoire avec un DFE de Formation Musicale en poche, et y retourne pour prendre des cours de Contrebasse classique avec Daniel Jacques.

Pendant tout ce temps, il multiplie les expériences, groupes de covers, orchestres, projets artistiques sans lendemain et se forge une expérience appréciable.

Rentre dans le circuit professionnel de la région mais cumule encore avec une activité à mi-temps.

Intègre le groupe Rue d'la Soif en 2006, part sur les routes de France et de Navarre pendant 3 ans pour 150 dates et un album mixé par Phil Pen (As de Trèfle, Billy Ze Kick...).

En profite pour arrêter le travail et se consacrer exclusivement à la musique.

Après l'arrêt brutal du groupe, se remet en selle, entre covers et compos, joue sur des projets où ont officié Pascal Mulot, Franck Hermanny ou encore Loïc Colin.

En 2010, rencontre Pierre Le Pape qui lui propose d'intégrer le projet Melted Space qu'il est en train de développer et enregistre trois albums avec ce dernier, part en tournée en compagnie de The Old Dead Tree.
Nb : sur le prochain album de Melted Space, les parties orchestrales sont jouées par l'Orchestre Philarmonique de Prague, et de nombreux chanteurs et chanteuses de renommée internationale sont invités pour donner vie au premier et unique Opéra Metal français.

2012, reprend des cours de contrebasse et d'harmonie jazz avec Jean François Bercé, et continue à développer la contrebasse dans des groupes swing, jazz, chanson...

Monte le trio My Favourite Swing fin 2012, enregistre un premier disque et tourne un peu partout en France.

Travaille également dans le domaine de la chanson (Popup, en première partie des Bodin's sur la tournée des Zénith 2014), enregistre et tourne avec Gérald Moizan aux côtés de Piwee Desfray.

Travaille en collaboration avec Michael Saccoman (As de Trèfle) pour monter le projet rock The Newtons, premier album à venir en 2015.

Côté matériel, représente la marque Kraken entre 2008 et 2012, puis s'affiche aux côtés des cordes Skull Strings (2013) puis des amplis Markbass en 2014.

Discographie (non exhaustive)

© Megapix'elle

Je ne suis pas collectionneur, mais je garde tout (rires) !
Plus pour avoir le matos sous le coude finalement...
Maintenant les effets, je les vois comme une valeur ajoutée au son de base, l'effet ne fait pas parti du son, mais doit être utilisé au besoin, selon le contexte et le propos.

Le solo de Cliff Burton, ou encore Paco avec son Delay mais ce sont des solos...
Du coup dans le son global, je pense à "Hysteria" de Muse, par exemple.

Difficile à dire, aujourd'hui ce sera tel effet, demain te la autre...
Ah si, le Chorus de Boss...