Jean-François Soubelet
Photo Jean-François Soubelet
Né en 1975, Jean-François Soubelet commence l'apprentissage de la guitare à l'âge de 5 ans. Ses cours de guitare classique le confrontent très tôt à un large répertoire, des standards Classique à la musique contemporaine.

L'intérêt de Jean-François pour la musique prend un tournant marquant quand à 16 ans il décide d'approfondir ses études au conservatoire et en participant à des concours départementaux de guitare classique.

Le lyrisme et les expérimentations des oeuvres de Heitor Villa Lobos et Leo Brouwer influencent profondément sa personnalité artistique.
En parallèle à son parcours acoustique, Jean-François Soubelet aborde avec la même passion la guitare électrique à l'âge de 14 ans, nourri par son obsession pour la musique d'Eddie Van Halen, Jeff Beck et Ozzy Osbourne.

Un nombre incalculable d'heures à se former en autodidacte lui permettent d'acquérir de solides bases de la guitare électrique, du blues au shred.

Quelques cours privés de guitare l'amènent progressivement au jazz et à son immense richesse harmonique.

Le premier choc musical de sa jeunesse était le légendaire album "Friday Night in San Francisco", le choc suivant est à 18 ans un concert parisien des Brecker Brothers avec Mike Stern.
La coexistence de phrasés blues, jazz et ouvertement rock, la sophistication harmonique, la maîtrise instrumentale, un engagement total dans l'improvisation : telle est l'esthétique musicale à laquelle Jean-François Soubelet consacrera désormais toute son énergie.

Par la suite, des stages d'été avec Mike Stern, Pat Metheny, John Scolfield, Pat Martino et George Benson confirment cette orientation artistique.

A 20 ans Jean-François Soubelet met un terme à son parcours classique et part étudier à la Music Academy International de Nancy (appelée CMCN à l'époque) pour affermir ses connaissances théoriques, perfectionner sa technique instrumentale et élargir son horizon créatif dans le département jazz-fusion.
Jean-François termine la session 1995-1996 major des guitaristes avec les félicitations du jury.

Après les fougueuses années "shred guitar" de son adolescence, Jean-François développe désormais sa personnalité dans des contextes professionnels sur la scène musicale parisienne.
Sa curiosité et la polyvalence de son parcours lui permettent alors de naviguer dans de nombreux styles (jazz, pop, classique, world).

Vient ensuite une phase de retrait de plusieurs années durant laquelle Jean-François Soubelet développe la consistance et l'authenticité de ses compositions en allant vivre un an à New York, en effectuant plusieurs séjours à Seville pour apprendre les bases du Flamenco.
Jean-François synthétise ses expériences artistiques, perfectionne ses capacités d'écriture et d'improvisation pour aboutir à un nouveau souffle dans son approche de l'instrument.

Bien que Jean-François Soubelet affirme ouvertement son identité dans des tendances rock ou acoustique, il est évident que l'influence jazz est le fondement du style de jeu et de composition reconnus par tous aujourd'hui.

Maîtrise technique, intelligence du phrasé, expérimentations rythmiques et harmoniques, l'album "Seven Seeds of Life" (sortie en Août 2011) démontre une vision innovante de la guitare moderne.
Ce recueil de titres instrumentaux amène la guitare au premier plan et rassemble toutes les principales influences qui ont jalonné le parcours musical de Jean-François Soubelet depuis plusieurs décennies.
Mixé par Pascal Garnon (Martin Solveig, NTM, Rita Mitsouko, Louis Bertiganc...), masterisé par Eric Chevet (Diam's, Soprano, Shy'm, Kerry James...) dans le célèbre studio parisien Masterdisk Europe, ce superbe ouvrage est une séduisante invitation au voyage à travers le rock, le jazz et le métal, en passant par la pop.

To be continued...

Jean-François Soubelet a étudié ou joué avec Franck Agulhon, José Barrachina, José Luis Campana, Philippe Canovas, André Charlier, Rémy Chaudagne, Matthieu Chazarenc, Michael Cheret, Jean-Marie Ecay, Alison England, Matthieu Emana Eskenazi, Frédéric Favarel, Stéphan Forté, Frank Gambale, Pierre-Jean Gaucher, Scott Henderson, Shawn Lane, Thierry Leteurtre, Dave Liebman, Sylvain Luc, George Lynch, Patrick Manouguian, Pat Martino, Pat Metheny, Francisco El Pulga Morales, Yannick Robert, Mike Stern, John Scofield, Benoit Sourisse, Joey Taffola, Anna Teko, Nelson Veras, Dave Weckl...
 Quelle pédale d'effet as-tu eu ou découvert en tout premier ?
A 14 ans je me suis procuré le Multi-effets Boss ME-5 avec ma première guitare électrique, une Hohner SG Lion.
J'ai donc découvert tous les principaux effets au même moment.
Hélas mon oreille n'était pas assez développée pour entendre le son que je cherchais.
Donc beaucoup d'heures de bidouillages et peu de recherches passionnantes ; j'étais plus intéressé à explorer ma guitare.
Je jouais même très souvent sans l'ampli pour écouter la résonance de la guitare...
Schéma Jean-François Soubelet

 La chaîne du bout des pieds
Photo Pedalboard Jean-François Soubelet
Décembre 2012


J'ai 2 rigs que j'utilise selon les situations.
Mon pedalboard est toujours patché en George L's,
les pédales annexes connectés en Klotz La Grange.

Rig 1 : C'est mon pedalboard "survie", mon "couteau suisse" 
quand je répète et quand je ne sais pas sur quel ampli je vais jouer.
Indispensable quand on se retrouve nez à nez avec un Twin Reverb !
On y trouve : Peterson Strobe Stomp 2, Dunlop 535Q Wah,
 ISP Decimator, Keeley Tube Screamer TS-9 DX Flexi 4x2,
 Fulltone OCD (en 18V), Xotic RC Booster Scott Henderson,
 Carl Martin Chorus XII, MXR Phase 90 EVH, Digitech JamMan looper.

Rig 2 : La configuration qui me permet de m'exprimer pleinement
dans tous les styles.
La chaîne de son de base est simple :  ISP Decimator Noise Gate,
Peterson Strobo Stomp 2 Tuner , Dunlop 535Q Wah,
Xotic RC Booster S. Henderson, Looper True-Bypass.
Comme le Gate et le Booster sont bufferisés, je minimise le risque
de pertes de signal, même avec toutes les Loops ouvertes.
A chaque effet correspond une Loop.
Loop fermée, l'effet est muté, le signal d'origine reste alors intact.
Le Looper true-bypass Road Rage comprend 10 Loops :
Loop 1 : Subdecay Prometheus DLX, Loop 2 : MXR Phase 90 EVH,
Loop 3 : OCD Fulltone, Loop 4 : Keeley TS9DX Flexi 4 x 2,
Loop 5 : Boss OC-2 Octaver,
Loop 6 : Earthquaker Devices Rainbow Machine,
Loop 7 : Digitech Jamman, 2 Loop 8 : Lovepedal Babyface Tremolo,
Loop 9 : Dunlop Univibe Hendrix 70th Anniversary,
Loop 10 : TC Electronic Flashback Delay.

Guitares
Electrique : Valley Arts Custom Pro,
Fender Telecaster customisée par Didier Duboscq avec micros Hepcat.
Electro-acoustique : Godin Multiac Duet nylon.
Acoustique : Valeriano Bernal Flamenco,
Pascal Quinson Classique, Balalaïka de 1966
.

Amplis
Electrique : Tête Marshall JVM410H + baffle Marshall 1936V,
combo Carvin XV-112.
Acoustique : AER Compact 60.
 Comment s'est nourrie ta "culture
  de l'effet" ?
Très tardivement, mon intérêt pour les effets est une passion vivace depuis 5 ans environ.
Avant, cet intérêt n'était que de circonstance.
A la base je suis guitariste classique.
Très tôt ce parcours exigeant m'a poussé à faire sonner une guitare avec mes mains sur un bout de bois et des cordes nylon, en interprétant de la musique.
Il y a là un côté "one man against the world" où il est impossible de se cacher derrière un ampli ou une pédale d'effet.
Tout se voit, tout s'entend.
Voilà certainement la raison pour laquelle j'ai longtemps joué avec peu (voire pas) d'effet.
Hormis bien sûr une Tube Screamer Ibanez, une Boss SD-1 ou un SansAmp. Mais dans mon apprentissage je n'ai pas eu un enthousiasme débordant pour les effets.
Quand j'ai été amené à faire beaucoup de variété et de pop-rock à 24 ans, j'ai investi dans un G-Force TC Electronic, un Soldano SP-77 puis un Quad Mesa Boogie, un ampli Peavey Classic 50/50, des baffles Mesa Boogie Celestion 1 x 12 fermés.
Je rentrais dans ma phase "rack" où mon ego cachait mes carences artistiques derrière un rack haut comme une palette de tomates et lumineux comme un sapin de Noël.
Sans parler des nuits à me casser le dos en remballant le matos après 3h de concert.
J'ai alors progressivement downgradé vers un combo Carvin XV-112, une 'tite disto, un Chorus Carl Martin xII, une Cry Baby.
Je me suis aperçu que je faisais toujours le job et pas plus mal qu'avant !
De cette période j'ai surtout gardé le G-Force, une très belle bête.
Mais j'ai surtout retenu qu'il vaut mieux passer plus de temps à faire sonner sa guitare et avoir des choses intéressantes à raconter plutôt que faire des petits programmes sur une machine.
A mon avis tout se passe entre les doigts, la guitare et l'ampli.
Tout élément que l'on vient ajouter n'est qu'une déviation de la pureté du son.
Si l'ampli est de qualité on ne devrait même pas avoir besoin de pédale de Distortion.
Je joue toujours sans Reverb car j'aime avoir un son brut qui se rapproche de celui d'un sax ou d'un piano.
J'aime écouter comment se comporte le son dans son environnement.
Vers 2007, un travail de fond sur mes directions artistiques m'a amené à rassembler tous les styles que j'aime jouer. J'ai donc adapté mon matériel à ce questionnement en choisissant Marshall (JVM410H et 1936V) comme le coeur de mon son, pour sa polyvalence et le légendaire "grain" Marshall.
D'autre part, la généralisation du true bypass m'a convaincu pour switcher sur un format pédales.
Internet aidant, je me suis intéressé à fond à la question des effets… pour enfin devenir totalement geek !
Maintenant je pourrais passer des heures à écouter des tests de matos sur le web.
 Collectionneur, curieux, moderne ou
  tout à la fois ?
Etant très peu porté sur la nostalgie, je n'ai jamais collectionné de pédale d'effet.
Je n'ai aucune nostalgie de la Boss Metal Zone de mes 16 ans…
Curieux et moderne car je reste en contact avec les dernières nouveautés, mais sans vraiment m'emballer pour le dernier gadget venu.
J'utilise tous les effets que je possède dans un seul but, m'exprimer sans frein avec le meilleur son possible.
Un équipement n’a jamais rendu quelqu’un plus créatif qu'il ne l'est en profondeur.
Les effets ne sont que des outils qui servent à accompagner la créativité de l'artiste.
Pour ma part j'ai plus développé ma créativité en allant dans des musées qu'en tripotant des potards de Flanger.
 Dernière pédale d'effets achetée ?
Dunlop JHM3 Univibe Hendrix 70th Anniversary,
Une version simple et efficace de l'Univibe produit en série limitée.
Cette pédale remplace en permanence le Chorus que je trouve trop marqué années 80 (surtout avec des EMG en son clean).
Je ne me sers du Chorus uniquement si la situation l'impose (gig pop-variété).
 Prochain effet convoité ?
Je recherche LA Fuzz qui ira sur mon pedalboard mais je n'ai pas encore trouvé la perle rare.
En matière de Fuzz/Disto/Drive mon obsession est la perte des fréquences basses.
Les pédales VL Effects proposent des produits séduisants Booster/Germanium, plus complets que la classique Fuzz Face.
Affaire à suivre…
 L'effet que tu n'auras jamais au bout
 des pieds ?
Une pédale Whammy.
On n'a vraiment rien à se dire.
 Quel artiste ou groupe conseilles-tu
  pour découvrir  la bonne utilisation
  des effets ?
Pour les pédales d'effets je dirais Jimi Hendrix car il a utilisé toutes les pédales développées à son époque, celles qui sont devenues des standards d'aujourd'hui.
Pour les effets guitare en général, Steve Lukather est un maître.
Pour son exigence et son professionnalisme.
Un grand bonhomme.
 Quel guitariste est selon toi le parfait
  utilisateur des pédales d'effets ?
Steve Vai.
Le cocktail détonnant entre une imagination débordante, le top de la technologie et une maitrise absolue de l'instrument.
Il y a bien sûr d'autres guitaristes "chercheurs" mais Vai est celui qui m’a le plus marqué dans ce domaine.
 Quelle chanson illustre pour toi la
  meilleure utilisation d'effets ?
"Touching Tongues" de Steve Vai.
Je n’ai jamais entendu un guitariste aller aussi loin dans l’expressivité avec des effets.
Ce titre me retourne à chaque écoute.
 L'effet conditionne-t-il ta façon de composer ou au contraire, vient-il en second plan ?
La plupart du temps mes compositions ont pour point de départ un élément rythmique (groove de batterie ou sample) et ne font appel à aucun effet guitare. La couleur harmonique est composée avec la première guitare que je trouve à portée de main. La mélodie est composée en même temps que les accords ou en improvisant en boucle sur le draft rythmique. Que ce soit pour la demo ou la prise définitive j'enregistre toujours sans effet. Ceci pour garder le signal d'origine le plus brut possible et surtout pour ne pas être enfermé sur un effet trop spécifique dans le mix final.
Sur mon album "Seven Seeds of Life" les seuls cas particuliers où l'effet a guidé la composition sont :
1) "Soft Whisper" : toutes les harmonies proviennent d'impros avec un Delay analogique POD Farm Line 6,
2) "Cold Cold Night" et "What's my Name" : les intros sont de samples d'impros
guitare joués à l'envers sur Ableton Live,
3) toutes les parties wah de l'album, provenant d'impros avec ma Morley Bad Horsie II.
 Ton pire souvenir avec un effet ?
A 16 ans au gala de mon lycée, ma première scène Rock. Je jouais un titre de Suicidal Tendencies et j'avais décidé de programmer différents sons sur mon Boss ME-5. J'avais préparé pile-poil des sons Clean/Disto/Solo dans ma chambre mais avec le public dans la salle, le son sur scène était complètement différent de celui chez moi ou en répèt. Impossible d'entendre les différences entre mes petits presets.
Finalement j'étais tellement excité en jouant mon morceau que j'ai laissé tombé mon numéro de claquettes
au bout d'une minute et j'ai terminé le titre avec un seul son, tout droit. Mon baptême du feu avec les effets programmables, un délice…
Les 3 leçons que j'ai apprises en quelques secondes :
1) Sur scène, rien ne se passe jamais comme prévu.
2) Il est indispensable de pouvoir corriger à tout moment ses effets (programmes à bannir).
3) ... Le rock n roll est incompatible avec toute forme de calcul !!!
 Une anecdote sur une de tes pédales d'effets ?
Quand j'ai commencé la guitare électrique, José Le Gall (guitariste de Michel Fugain), un ami de mon père, m'a gentiment offert une Electronic Mistress et une Memory Man Electro-Harmonix. A cette époque je n'avais aucune notion de la valeur et de la qualité sonore de ces pédales. Il faut dire qu'à côté du Boss ME-5, elles étaient moins sexy et sonnaient un peu vieillot à mon goût. Je les ai mollement prêtées et abandonnées à un pote, un ami, une connaissance, un inconnu… Je n'en ai pas le moindre souvenir.
Beaucoup plus tard j'ai pris conscience de la valeur de la qualité de ces effets et depuis, à chaque fois que j'y pense, ... je me mords les doigts de les avoir lâchés, arggghhh !!!
Photo Jean-François Soubelet  Le petit truc sympa qui fait plaisir...
J'aime quand je passe dans une autre dimension dès que j'enclenche un effet. J'aime considérer mes effets comme des couleurs ou des teintes qui me permettraient de peindre mon solo.
Quand je suis en phase avec mon matériel et que je m'exprime comme je l'entends, je suis heureux. Je suis alors reconnaissant envers toutes les heures passées à travailler l'instrument et à m'intéresser à mon matériel.
 L'effet "ultime" dont tu ne te passeras jamais, pour toi c'est ... ???
Un Booster. Le RC Booster Xotic Scott Henderson Signature délivre plus de bas médium que le RC classique.
Je l'utilise dans de nombreux cas. Quand je joue avec une pédale de disto (surtout l'OCD Fulltone), le RC me permet de ne pas perdre mes basses. Sinon en général le RC apporte des vitamines, du punch et du sustain au JVM. Je peux même faire sonner le RC comme une Fuzz selon les règlages. Je me sers aussi du RC Booster quand j'enregistre en disto avec Line 6 POD Farm pour apporter de la consistance et du réalisme au son modélisé.
 Sites internet
www.soubelet.com
 L'évolution du son de Jean-François
J'avais en tête depuis longtemps l'idée de rassembler tous mes effets sur un seul pedalboard, avoir la possibilité de naviguer en un clin d'oeil entre des ambiances assez classiques et des ambiances totalement expérimentales.
Désormais tout se passe au bout des pieds ( ^^ ), j'ai abandonné le MIDI, le G-Force et les petits programmes.
D'ailleurs j'ai désigné ce board pour la musique improvisée, selon moi peu compatible avec le principe de programme.

La préparation de ce board a été passionnante, structurer ma personnalité sonore en tenant compte de tous les effets que j'affectionne. 
Je dois dire que ma rencontre avec Oz Noy à New York et nos échanges ont confirmé ma volonté d'approfondir à fond l'utilisation des effets dans mon jeu.

Mon cahier des charges était strict de par mon obsession de perdre le moins de signal possible ; j'aime trop le son de mon Marshall.

J'ai donc opté pour un système looper true-bypass Road Rage Pro Gear. 
Tout est câblé en Evidence Audio Reveal et en fiches Switchcraft.
J'ai fabriqué moi-même tous les patchs.

Au delà de la possibilité d'avoir une large palette de couleurs sonores, je peux enfin utiliser le Looper Jamman et l'octaver Boss (qui ne sont pas true bypass) sans me soucier des pertes de signal.
Le Jamman me permet de sampler en temps réel mes phrases, puis les rejouer à l'endroit ou à l'envers dans mes solos un peu cinglés.
En son clean je peux aussi d'installer des ambiances ; en inversant ou non les boucles puis en ajoutant derrière le random arpeggiator Subdecay, l'univibe ou le delay, c'est le feu d'artifice.
J'utilise la Earthquaker Devices Rainbow Machine comme un harmoniseur excentrique, plutôt règlé à quarte inférieure.
Je peux aussi lorgner vers des ambiances réellement déjantées en réglant l'effet à des intervalles plus serrés comme la seconde majeure ou mineure.
Pour le moment l'alimentation est le système Power Station de Diago.
Comme je n'ai pas de Fuzz, le souci des masses séparées ne m'est pas apparu comme évident.
Les puristes du son désapprouveront certainement mon point de vue. 

Ce board est branché en permanence dans mon Marshall JVM410H. 
Toutes mes prises studio sont effectuées avec le Torpedo PI-101 Wall of Sound de Two-Notes Engineering, la meilleure solution du marché pour la prise de son guitare électrique et basse en home studio. 

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